jeudi 25 août 2011

maudite affaire

on peut-tu se dire que c’est pas fun des rêves comme ça comme ceux de lui assis à côté de moi qui dit allô je suis là je veux dire je suis revenu je t’aime encore allô.
- gars tu niaises.
mais y’a pas de place pour en sortir parce que l’auto roule et je suis prise au milieu. je reste en partant et je pars en restant c’est du pareil au même mais c’est jamais suffisant. je rage et je respire je cherche le vent.
- come on.
t’sais moi je pense à ta fille-de-jacques-poulin qui te soulève tellement qui te voyage dans tout le québec. je pense à vous depuis la neige sur la route des fois dans le coin, ces fois-là où je m’en vais encore après le printemps après l’été, même après j’veux qu’tu sois là qu’tu la rencontres c’est important. c’est drôle on en a jamais reparlé genre on se sourit pour être poli mais je pense que je t’hais. parce que tu dis oublie tout ça c’est fini. pis après je me réveille toute seule dans mon lit.


pis là. tu vas et tu viens dans ma vie avec ta face de gars d’ailleurs que je sais pu c’est qui que j’ai même pas le goût de voir. pis t’es tellement friendly que tout le monde t’aime. même l’architecte est sur ton cas pis moi je vous regarde devenir chummy en pensant je m’en sortirai jamais bout d’viarge.
- heye y’est tellement cool le gars le connais-tu faut trop qu’on jamme ensemble.
ah crisse. ah pas lui avec.

4 commentaires:

  1. pour de vrai je suis faché, quand je parle de l'autre tu me dis que je suis excessif, qui serait temps que je get over it.

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  2. ouain je t'ai dit une fois que je trouvais ça louche que tu l'appelles encore ma blonde mettons. à part ça tu fais ben ce que tu veux.

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