ma feue flamme fusée fêlée
couchée relue sur du papier -
j’aurais appelé l’air d’un trou noir
dit allô
allô allô allô
prends-le pas
prends-le pas mal
je suis creux
dans la spirale
tout aspiré moi
rien compris
écoute
cet air-là sur notre peau
les étoiles dans ta tête
écoute tes dents qui craquent
ma bouche sur ton ventre
nos corps étreints en vent
et ton silence
des jours durant
(souviens-toi)
je suis tombée dedans
sans temps sans tant savoir
- on oublie tu sais -
un éclair un orage une pluie
une fin du monde (un délire)
un retour
des mois durant
rien compris je te dis
j’ai peur à l’été parce que tes lèvres
le goût de la bière dessus
le goût de moi dessus
après le vertige les larmes
la peur de ne plus savoir comment
te perdre -
l’exil
parce que
ton linge coloré
tes souliers délassés
ta main sous ma robe
tes crises d’identité
j’ai peur à l’été comme
d’un regain d’insouciance
j’aurais appelé l’air d’un passé
à spéculations :
reviens pas mais
peut-être je sais pas
couchée relue sur du papier -
j’aurais appelé l’air d’un trou noir
dit allô
allô allô allô
prends-le pas
prends-le pas mal
je suis creux
dans la spirale
tout aspiré moi
rien compris
écoute
cet air-là sur notre peau
les étoiles dans ta tête
écoute tes dents qui craquent
ma bouche sur ton ventre
nos corps étreints en vent
et ton silence
des jours durant
(souviens-toi)
je suis tombée dedans
sans temps sans tant savoir
- on oublie tu sais -
un éclair un orage une pluie
une fin du monde (un délire)
un retour
des mois durant
rien compris je te dis
j’ai peur à l’été parce que tes lèvres
le goût de la bière dessus
le goût de moi dessus
après le vertige les larmes
la peur de ne plus savoir comment
te perdre -
l’exil
parce que
ton linge coloré
tes souliers délassés
ta main sous ma robe
tes crises d’identité
j’ai peur à l’été comme
d’un regain d’insouciance
j’aurais appelé l’air d’un passé
à spéculations :
reviens pas mais
peut-être je sais pas
tu prieras pour que toutes mes veines
se rallument encore
tu pourras dire que je t’aime
que je t’aime à mort
se rallument encore
tu pourras dire que je t’aime
que je t’aime à mort
(karkwa)
Je l'aime ton nouveau blog T.
RépondreSupprimerEn passant, j'ai écrit, sur le mien. Je vais recommencer tranquillement pas vite à remettre de la vie dessus!